11/10/2013
Ton DevOps dans l'ascenseur

Ami/e code-storist, qui toi aussi bosses dans la cage d’ascenseur des Gageot-de Morlhon, il est possible que tu te sois retrouvé/e à pester sur le cookie perdu qui fait que ton ascenseur est toujours dans la course, mais que tu ne peux plus y accéder par la page web. Faicque, si jamais tu voulais le sortir de la cage, ben tu peux plus. Tragédie en cinq actes.

  1. Tu pestes un temps contre le Cookie Monster qui a bouffé les clefs de ton ascenseur.
  2. Face à la fatalité tu te résous à créer un nouveau compte.
  3. Tu pleures parce que tu ne peux plus utiliser ton pseudo fétiche, toujours accroché à l’ascenseur perdu.
  4. Tu utilises un nouveau pseudo moisi (de préférence, le précédent suivi du chiffre 2).
  5. Tu passes un certain temps avant de comprendre qu’il fallait aussi changer le port de ton serveur d’ascenseur, qui fait n’importe quoi maintenant qu’il dialogue maintenant avec deux maîtres (faut dire aussi, un serveur HTTP avec état, on n’a pas idée, c’est bien chercher les ennuis).

Bonus : si tu as perdu ton deuxième cookie dans la bataille, à toi la partie gratuite et un DVD éducatif. e Si après ça, il y en a encore pour croire que les développeurs mènent une vie terne et ouatée, c’est à désespérer.

Reste un problème, toutefois. Maintenant qu’on a réussi à alerter l’opinion publique sur les angoisses existentielles de la développeuse et du développeur, comment éviter de se refaire une deuxième séance de la tragédie susdécrite ? Comme dirait Jonathan, on respire un grand coup, on dit halte à la victimisation, et on va lire le source.

Ou alors, on fait comme tout le monde vivant au 21e siècle, on va sur Internet et on copie-colle les bouts de code référencés depuis un article de blog ;^)

Emmanuel Gaillot